Les petits plaisirs de Daniel Cohn-Bendit
Posté le 10 juin 2009, 22:13 | Auteur : François |
En anglais : Merci aux traducteurs, en particulier Knut, Zingueur, Tskvi et Thomas. Diffusez cette vidéo grâce au lien suivant : http://blip.tv/file/2226128 | En allemand : Merci aux traducteurs, en particulier Cocorico et S. Diffusez cette vidéo grâce au lien suivant : http://blip.tv/file/2230329 |
Dans un écrit autobiographique, Le Grand Bazar, Daniel Cohn-Bendit
rapporte ses pratiques :
« Il m’était arrivé plusieurs fois que
certains gosses ouvrent ma braguette. Je réagissais de manière différente selon
les circonstances, mais leur désir me posait un problème. Je leur demandais :
pourquoi ne jouez-vous pas ensemble, pourquoi m’avoir choisi moi et pas les
autres gosses ? Mais s’ils insistaient, je les caressais quand même. »
L’Observer retrouvera même un texte de sa main paru dans un journal
alternatif de Francfort en 1976 :
« Mon flirt permanent avec ces
enfants prit bientôt un tour érotique. Je pouvais parfaitement sentir comme les
petites filles de cinq ans avaient appris à m’exciter. C’est à peine croyable.
La plupart du temps, j’étais passablement désarmé. (…) Il m’est arrivé que
plusieurs fois des enfants m’ont ouvert la braguette et ont commencé à me
caresser. Selon les circonstances, j’ai réagi de façon diverse. Quand ils le
voulaient, je les ai caressés. Alors on m’a accusé de perversion. »
France Soir d’aujourd’hui : |
|
Je suis infiniment bouleversé par ce que vous avez trouvé(…) Je vais vous dire, j’ai failli pleurer. Pour la première fois depuis jeudi dernier, je n’ai pas regretté ce que j’ai dit à Cohn-Bendit sur France 2. François Bayrou
Vous savez que la sexualité d’un gosse, c’est absolument fantastique. (…) Quand une petite fille de 5 ans commence à vous déshabiller, c’est fantastique. C’est fantastique parce que c’est un jeu absolument érotico-maniaque…
Catégorie : Actualité, Communautarisme, La Une |
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Commentaires
867 Commentaires
Fly-Tox Commentaire Nº801 - 12/6/2009 - 20:55 |
Important de laisser à la UNE les basses oeuvres de ce pédophile à la une de
l’€urope des voyous.
Merci Monsieur Deschouches.
Bien sur que si un lepen ou Villiers avait tenu de tels propos non seulement il aurait été massacré médiatiquement mais il serait au trou…
Les verts sont les kollabos utiles du cac 40.
Mais surtout le peuple s’en fout voila la réalité..
GRAFF Commentaire Nº803 - 12/6/2009 - 20:59 |
La seule solution plausible pour cette salope, c’est de nouveau l’interdiction de séjour ! Après tout le peuple français n’a pas à suporter tous les déchets humains qu’on lui impose, au nom de je ne sais quelle tolérance et terre d’asile. Terre de dingues oui !
Nabulione Commentaire Nº804 - 12/6/2009 - 21:02 |
Ils sont quand même bien ces gens de Riposte Laïque, je trouve…
bruno Commentaire Nº805 - 12/6/2009 - 21:05 |
Quand cette vermine sera menaçante pour Sarko, celui-ci aura tôt fait d’exhumer cette affaire en faisant porter le chapeau à quelqu’un d’autre. Il y a eu un premier pigeon (Bayrou ), il en trouvera bien un second, mais qui ??? L’homme est trop malin pour se compromettre à de telles erreurs de communication.
chicxulub Commentaire Nº806 - 12/6/2009 - 21:07 |
Riposte Laîque excellent, comme toujours. Ils feraient pencher JMLP à gauche, les brigands ! Mais ils posent la bonne question : “Pourquoi ce silence des médias ?”. Je réponds très modestement : “Parcequ’ils sont complices de ces pratiques, bien sûr !”
GRAFF Commentaire Nº807 - 12/6/2009 - 21:11 |
Le silence des médias dans cette affaire ? La réponse est dans la question : merdias = gauche toutes tendances ! 80 % de la presse est à gauche ! Quant à la télé, les commentaires seraient inutiles. Tous ces petits flics de la pensée tiennent à leur place, or Sarkoko et Con Bandit se font des courbettes, donc pas de risques inutiles, nos GPU carressent toujours la bête dans le sens du poil !
oradour Commentaire Nº808 - 12/6/2009 - 21:17 |
La chasse au porc est ouverte…
Godefroi de
Bouillon Commentaire Nº809 - 12/6/2009 - 21:24 |
Dany par-ci, Dany par-là, décidément, c’est de l’intoxication François ! en plus tu risques d’attirer pas mal de pédophiles sur ce site si tu continus à lui faire de la pub, bon, dans un sens, c’est utile, surtout lorsqu’on a la sensation de mal-être qui s’accompagne l’éventuelle approche de vomissements, en effet, voir la gueule de ce type ça aide à dégager l’œsophage et les voies respiratoires beeeeurk .. petit conseil, en ce moment prenez une bassine avant de vous connecter sur FDS, après le dragée FUCA d’origine végétale, le vomitif 100% garanti Europe Ecologie
bruno Commentaire Nº810 - 12/6/2009 - 21:24 |
…la chasse aux porcs est ouverte, pitié pour les sangliers.
bruno Commentaire Nº811 - 12/6/2009 - 21:31 |
C’est vrai que cela risque d’attirer tous les pédos du pays si on continue à faire de la pub pour ce sac à puces. ( Puces sauteuses, de surcroît ). Faudrait faire gaffe à ne pas obtenir l’effet inverse de celui escompté, c’est à dire, en faire une victime ( après tout, ce sont les enfants qui viennent vers sa braguette, c’est lui qui le dit ). Vous connaissez ce pays, plus il ya de salopards et plus ils sont défendus. Vous allez voir que se sera bientôt la mode de se promener avec un jean “Chupa Chup’s”
Toto Commentaire Nº812 - 12/6/2009 - 21:39 |
Intéressante analyse d’un coreligionnaire. Plus faux-cul tu meurs. Toute la dialectique du con consiste en fait à tortiller du cul pour chier droit et sioniste. Et de se croire, de ce fait, supérieurement intelligent par rapport à la moyenne. C’est ce qu’il appelle « épater le bourgeois ». Appâter le bobo en fait.
toutvabien Commentaire Nº813 - 12/6/2009 - 21:51 |
le bonheur c’est simple comme un cohn de pin.
quausak Commentaire Nº814 - 12/6/2009 - 21:55 |
porc cacher …
sainte Rita Commentaire Nº815 - 12/6/2009 - 22:01 |
Lu sur le lien donné par Toto :
“La campagne de Cohn-Bendit contre les immigrés arabes en Europe ne faisait que commencer. Peu auparavant, la Commission européenne avait soumissionné un rapport sur l’antisémitisme en Europe. Un groupe de chercheurs sionistes se chargèrent de ce travail. Ils produisirent un rapport qui faisait retomber la responsabilité de l’antisémitisme sur des Sémites – plus précisément, sur les Arabes.
Europe Ecologie est pro immigration, immigration essentiellement arabo
magrebine et africaine.
Je ne comprends pas .
Galicae Commentaire Nº816 - 12/6/2009 - 22:18 |
Avez vous laissé la vidéo de CB et Marine??
http://www.youtube.com/watch?v=hTImiUbqlVE&feature=player_embedded
Boreas Commentaire Nº817 - 12/6/2009 - 22:28 |
Entre coquins, on se soutient :
” Jack Lang : ‘Mon coeur battait pour Daniel Cohn-Bendit’ ”
Boreas Commentaire Nº818 - 12/6/2009 - 22:43 |
Libération, grand journal moral :
” Libé face à son passé pédophile
December 4th, 2005
La plus longue grève de son histoire, les journalistes unanimes qui se la jouent solidaires, un silence respectueux entoure les évènements qui secouent la rédaction du quotidien Libération. Alors que l’occasion s’y prête à merveille, personne n’ose la critique envers ce QG suprême de la pensée de gauche, ni même l’interrogation envers les problèmes de financement et encore moins le constat devant l’hémorragie de lecteurs. Sous des dehors militants, Libération a des manières de grande muette.
En ce qui nous concerne, outre le fait que le capital soit en train d’avoir la peau des camarades nous amuse un peu, nous aurions apprécié que les grévistes se livrent à la traditionnelle autocritique et considère l’ouvrage abattu depuis toutes ces années. Nous ne ferons pas ce travail fastidieux à leur place, mais nous permettrons de rappeler à July et à sa clique qu’il y a deux-trois petites choses sur l’ardoise qui n’ont pas été réglées.
Il y en a une, principalement, qui nous reste en travers de la gorge, le soutien ouvert à la pédophilie dans les années 70-80.
Souvenons-nous: Mai 68 a sonné le tocsin puis le glas de l’”ordre moral”, le vieux monde est condamné, la libération sexuelle balaie tout sur son passage, tout même les enfants, les nourissons, Libération se fera le moteur premier de la “révolution sexuelle” et le porte-voix de mouvements tels que le ‘Front de libération des pédophiles‘:
En effet, mai 1977 (republié: Libération 01.03.1979), on lit ceci dans Libération:
« Naissance du « front de libération des pédophiles »
Un nouveau groupe
vient de naître: le FLIP (Front de libération des Pédophiles) dont vous pourrez
lire ci-dessous la plate-forme constitutive. Qui sont-ils ? Pour l’essentiel,
des lecteurs de Libération qui à la suite d’une « lettre ouverte aux pédophiles
dans notre édition du 9/2/77 nous firent parvenir un courrier abondant – nous en
rapportions quelques-unes dans une double page le 24 mars 77 intitulée:
Relations Adultes-Enfants. Le deux avril dernier se tenait à Jussieu une
première réunion regroupant une trentaine de personnes. Simple prise de contact.
Sans doute, peut-on regretter que l’essentiel des préoccupations ait été d’ordre
judiciaire. Il ne fut en effet question que de répression, de défense et de
poursuite des pédophiles. Sans méconnaître ces dures réalités, un tel groupe a
tout à gagner s’il élargit son champ de réflexions.
Le FLIP (Front de libération des Pédophiles) est né. Quelques objectifs essentiels ont déjà pu être lancés:
— Combattre l’injustice pénale et mener une réflexion critique sur la famille et l’école, fondée sur une analyse politique de la sexualité entre mineurs et adultes.
— S’associer à la lutte des enfants qui veulent changer leur mode de vie et de tout groupe politique qui vise à l’établissement d’une société radicalement nouvelle où la pédérastie existera librement.
— Développer une culture pédérastique qui s’exprime par un mode de vie
nouveau, et l’émergence d’un art nouveau.
— Prendre la parole dans des
organes d’information qui lui en donnent les moyens et par les voies qui
s’imposent.
— Manifester sa solidarité avec les pédophiles emprisonnés ou victimes de la psychiatrie officielle.
La « tyrannie bourgeoise » fait de l’amoureux des enfants un monstre de légende qui croque les chaumières. Nous casserons ensemble monstres et chaumières.
Pour joindre le FLIP, écrivez à Jean-Louis Burckhardt, BP N°361, 75 Paris cédex 02 (ne pas mentionner FLIP sur l’enveloppe, joindre un timbre pour la réponse) ».
Libé définit la pédophilie comme une culture (Libération 10.04.1979) qui cherche à briser la « tyrannie bourgeoise qui fait de l’amoureux des enfants un monstre de légende » (Libération 07-08.05.1977). La rédaction affirme vouloir tout simplement « traiter des relations entre les gens comme des faits de société (…) et ne pas les ghettoïser, en circuits fermés et cinémas spécialisés » (Libération 01.03.1979).
Le 10 avril 1979, le quotidien publiera le plaidoyer de Gabriel Matzneff et
Tony Duvert en faveur des “amours minoritaires” (article titré: “Année de
l’enfance”…) mais c’est deux mois plus tôt que l’horreur absolue a été atteinte,
avec l’interview pleine page, sur deux jours, de Jacques Dugué, violeur
d’enfants, et de ses propres enfants, que le journal ne manque pas de louer pour
“sa franchise quant à la sodomie”. « Pourquoi un homme n’aurait-il pas le droit
d’aimer un enfant? », interroge Dugué qui prend un malin plaisir à se répandre
en descriptions obscènes: « Un enfant qui aime un adulte, sait très bien qu’il
ne peut pas encore donner, aussi, il comprend et il accepte très bien de
recevoir. C’est un acte d’amour. C’est une de ses façons d’aimer et de le
prouver. Ce fut le comportement avec moi des quelques garçons que j’ai
sodomisés.
Et puis disons les choses comme elles se passent. Il aime
ressentir dans son corps, le membre viril de celui qu’il aime, d’être uni à lui,
par la chair. Cela donne de grandes satisfactions.
Il a aussi la satisfaction
d’être agréable à celui qui le sodomise qui jouit en lui. Cela lui procure aussi
une grande joie, car aimer c’est aussi bien donner que recevoir.
Cela
peut-être dur à admettre pour des profanes, mais c’est la réalité »; dans un
quotidien d’audience nationale… (Libération 25-26.01.1979)
Devant l’horreur de ces déclarations, la société, dans un ultime sursaut “réactionnaire”, brave la dictature de la pensée unique et ose une protestation. L’indéboulonnable Serge July, rédacteur en chef, persiste et signe: En mars 1979, le journal titre triomphalement sur « les outrages de Libération », où July crie à la censure et publie à nouveau, en guise de provocation, l’ensemble des articles ou illustrations qui, en 19 mois, lui ont valu pas moins de 9 inculpations pour outrages aux bonnes mœurs et incitations à la débauche. Accusation “bourgeoises” et contraires à l’idée qu’il se fait d’une presse “innovante”, une presse qui, en l’occurrence, « respecte le mouvement, les mouvements contradictoires et multiples de la vie ». Le monde nouveau que Libération rêvait pour demain devait avoir la pédophilie pour principe…
Parmi ces illustrations, on retrouve cette œuvre du groupe Bazooka reprise de la revue Regards modernes, et montrant une fellation réalisée par une petite fille, sous le titre « apprenons l’amour à nos enfants » (publié le 5-6 /11/1978 dans la page d’annonces « Taules ») ou encore des dessins impliquant des bébés ou une photo mettant en scène de jeunes garçons dans des postures sodomites (Libération 01.03.1977).
En 1981 encore, Libération publie ceci: « Je faisais un cunnilingus à une amie. Sa fille, âgée de cinq ans, paraissait dormir dans son petit lit mitoyen. Quand j’ai eu fini, la petite s’est placée sur le dos en écartant les cuisses et, très sérieusement, me dit “à mon tour, maintenant”. Elle était adorable. Nos rapports se sont poursuivis pendant trois ans ». C’est un homme qui parle. Il s’appelle Benoît. Son interview, titrée « câlins enfantins », est précédée d’une phrase du journaliste: « Quand Benoît parle des enfants, ses yeux sombres de pâtre grec s’embrasent de tendresse ». C’est terrible, illisible, glaçant, et publié dans Libération le 20 juin 1981.
En 1982, Hocquenghem affirme que « La pédophilie n’a jamais été en tant que telle un délit dans le code pénal » (Libération 20.10.1982), elle serait donc licite, en soi…
Tout ça c’est du passé, nous dira-t-on, il y a prescription: Libération – toujours – le 1er mars 2001, publie une apologie de l’éducation pédophile en guise de pétition de soutien au non moins pédophile Daniel Cohn-Bendit:
« Nous sommes les enfants de la révolution sexuelle. Nous avons aujourd’hui des enfants, ou nous espérons en avoir, ou nous en côtoyons et nous disons merci à la génération de nos parents. Nous entendons les médias clouer Cohn-Bendit* au pilori en l’accusant de pédophile. Nous entendons ce qu’il dit, nous entendons ce qu’il décrit et dans ses mots nombre d’entre nous ont l’impression d’entendre et de revoir leurs propres parents. Sommes-nous des enfants de pédophiles?
Nombre d’entre nous ont eu des parents qui se sont promenés nus devant eux, sans doute nous ont-ils laissés toucher leurs seins, leur sexe. Ils ont été heureux quand nous sommes tombés amoureux à la maternelle, quand nous avons embrassé d’autres enfants sur la bouche. Ils nous ont laissés jouer à « touche-pipi ». Que dit Cohn-Bendit? A-t-il évoqué le désir qu’il aurait pu éprouver pour des enfants? A-t-il eu l’intention de les pénétrer? Leur a-t-il demandé des fellations? Non. Ce qu’il raconte, c’est ce que nous ont laissés vivre nos parents -ou que nous aurions aimé que nos parents nous laissent vivre – et c’est ce que nous voulons vivre avec nos enfants. Des enfants qui ont une vie sexuelle – qui l’ignore encore aujourd’hui? – qui éprouvent des désirs, qui ont des questions, des séductions. Bref, non pas des enfants objets pour les adultes, mais bien des enfants sujets dans toute leurs dimensions, y compris celles qui excitent tant les esprits. Les années 70 ont fait des enfants – de nous – des sujets. La révolution sexuelle – y compris dans le domaine de l’enfance – nous a d’abord appris que notre corps nous appartenait. Que nous avions le droit d’en faire ce que nous voulions, avec qui nous voulions. Que, parce que devenus sujets, nous avions le droit de dire « non » à ceux qui désiraient faire autre chose de notre corps et de nos désirs que ce que nous, nous voulions »… Cinq ans après l’affaire Dutroux, Libération n’avait rien oublié, rien appris!
Etc. etc. et encore fait-on grâce des premiers numéro de Gai Pied, des pétitions du FHAR ou des trotskistes, signées par des Fischer, des Jospin, des Lang et autant d’icônes proprettes d’une gauche bien pensante qui doit encore passer à la barre des tribunaux de l’après-guerre sexuelle…
Mais qui a encore besoin de Libération?
* Cohn-Bendit a publié ceci, en 1975, dans Le Grand Bazar: « Il m’était arrivé plusieurs fois que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller. Je réagissais de manière différente selon les circonstances, mais leur désir me posait un problème. Je leur demandais: “Pourquoi ne jouez-vous pas ensemble, pourquoi m’avez-vous choisi, moi, et pas les autres gosses?”. Mais s’ils insistaient, je les caressais quand même »
Source : http://www.bafweb.com/ ”
http://fr.altermedia.info/general/libe-face-a-son-passe-pedophile_8212.html
Marie Commentaire Nº819 - 12/6/2009 - 22:54 |
Comme ordure, crevure,pourriture,(pour les féministe ça rime en -asse)chiure,raclure, etc… on fait pas mieux !
ce salop aurait mérité qu’on lui casse les c…
et quand je pense que ce con d’bandit a entraîné de charmant(s) naïf(s)vers la pourriture soixantuitardo-communiste.
n’empêche que je n’aimerai pas être à sa place, à ce gros porc, car dixit Jésus :
“Malheur à celui qui scandalise un de ces petits qui sont avec Moi”
Vive la France ! Vive Ste Jeanne d’Arc !Jesus Marie ! Boutez toutes ses M… hors de France !
Boreas Commentaire Nº820 - 12/6/2009 - 22:58 |
Et ça continue avec les copains :
” 09.05.2008
Mai 68, Michel Polac et la pédophilie
On nous présente Mai 68 comme une étape indispensable à la libération de l’individu. Anniversaire oblige, pas moyen d’échapper à la propagande soixante-huitarde. C’est pourquoi nous voulons rappeler la vérité : mai 68 était une œuvre de subversion prête à banaliser les pires travers.
Michel Polac, journaliste et écrivain, ancien chroniqueur à l’hebdomadaire gauchiste Charlie-Hebdo, fut en 1968 l’un des organisateurs de la grève de l’ORTF. Dans l’un de ses livres, il parle de son expérience homosexuelle et… pédophile !
« Oui, j’ai vécu cela à 14 ans avec I. J’ai défailli comme on disait au XVIIIe siècle, rien qu’en frôlant son ventre nu avec mon ventre. (…) De même avec un autre I. à 28 ans, il avait 18 ans environ, mais ce fut moins foudroyant car je l’avais pris pour un tapin : et enfin à 40 ans, avec ce curieux gamin un peu bizarre, sauvage, farouche, un rien demeuré, fils de paysan, orphelin peut-être, qui devait avoir 10, 11 ans, peut-être moins, et qui m’a si étrangement provoqué jusqu’à se coucher nu dans ma chambre d’hôtel en me racontant une obscure histoire de relation sexuelle avec un homme de son entourage et je me suis rapproché de lui, et il était nu sur le côté, et j’ai seulement baissé mon pantalon et ai collé mon ventre contre son cul, et j’ai déchargé aussitôt, en une seconde, dans un éblouissement terrible, et il a eu un petit rire surpris comme s’il s’attendait à ce que je le pénètre, il paraissait si expérimenté, si précocement instruit, tout en ignorant ce que cela signifiait, tout en étant capable de préciser ce qu’il savait ou voulait. »
Extrait de ‘Journal’, récit autobiographique de Michel Polac,
p.147
_____________
Commentaires
A propos de ce Journal, Polac affirme qu’il l’a publié sans relecture et au passage, avoue ses actes pédophiles :
http://www.dailymotion.com/video/x233ym_virez-polac_politics
7 ans plus tard, pour se justifier de la publication de cette scène pédophile (p. 147) il affirme le contraire, à savoir qu’il a choisi de le publier et s’enflamme contre Daniel Lumbroso :
http://www.dailymotion.com/related/x233ym/video/x1veby_michel-polac-est-il-pedophile_events
D’autres commentaires :
http://scribouilleuse.free.fr/Polac.htm
Les défenseurs de Polac disent qu’il s’agit d’un coup monté.
Mais pourquoi
Polac rechigne-t-il à se justifier, comme s’il était permis de publier comme
étant un Journal un tel épisode ?
Ce mutisme, cette colère donnent la sensation qu’on à affaire à un homme protégé par son milieu, qui croit avoir nul besoin de se justifier. Ca et les aveux de la vidéo 1 confirment la thèse de Polac pédophile.
Ecrit par : casiope | 03.11.2008 ”
http://alainescada.hautetfort.com/archive/2008/05/09/mai-68-michel-polac-et-la-pedophilie.html
Le bon docteur
Schweitzer Commentaire Nº821 - 12/6/2009 - 23:02 |
Comme d’autres venus commenter le sujet, je suis partagé : oui, cent fois oui
pour démasquer le “héros” des Européennes, pour exiger des comptes du torchon
Libé, pour briser l’omerta… Mais faut-il transcrire une page de récits
d’expériences de ce genre ? Attention aux effets indésirables de ce genre de
traitement de choc !
Cela dit, ceux qui ont fait passer dans le droit la
notion délirante d’”orientation sexuelle” sont servis en ce moment avec cela ou
l’affaire du banquier Stern…
Boreas Commentaire Nº822 - 12/6/2009 - 23:04 |
Et encore :
” 07.05.2008
Mai 68, la pédophilie et le tabassage de flics
Romain Goupil – Cinéaste, socialiste, ancien membre de la Ligue communiste révolutionnaire : «J’ai envie de dire: oui, je suis pédophile !», Recueilli par MICHEL HOLTZ.
“Rien n’a changé, les attaques sont toujours les mêmes, lancées par le même genre de mecs qu’il y a trente ans. Moi, ça me donne envie de dire aux réactionnaires qui nous tombent dessus en ce moment: oui je suis pédophile, oui je suis gay, oui je suis lesbienne. Evidemment, toute cette affaire est dégueulasse pour Dany Cohn-Bendit, comme pour Joschka Fischer. Et je les soutiens. Le seul reproche que je puisse faire à Joschka, c’est de s’excuser d’avoir tabassé un flic. Bientôt, on devra s’excuser d’avoir participé à des manifs pendant les événements de Mai et durant les années qui ont suivi. Un jour de juin 1973, à la Mutualité à Paris, on a blessé 150 flics. J’étais là, je le revendique et je ne suis pas près de m’en excuser.”
Voilà ce qu’était vraiment Mai 68… ”
Le bon docteur
Schweitzer Commentaire Nº823 - 12/6/2009 - 23:05 |
Le plus important est en tout cas de maintenir la pression sur ce silence coupable. Encore merci à ceux qui ont fait les traductions.
Boreas Commentaire Nº824 - 12/6/2009 - 23:15 |
Le bon docteur Schweitzer
Commentaire Nº821 – 12/6/2009 – 23:02
” faut-il transcrire une page de récits d’expériences de ce genre ? Attention aux effets indésirables de ce genre de traitement de choc ! ”
La vérité sur ce genre de sujets, choque toujours bon nombre de gens.
Le site FDS ne pourra guère, en l’occurrence, être taxé de complaisance à l’égard de la pédophilie (ni moi en tant que commentateur, puisque je ne fais que citer des sources dûment identifiées) !
Je pense qu’il faut dire toute la vérité, aussi moche soit-elle.
Les lecteurs naïfs ne seront touchés que de cette façon et s’ils estiment que “malheur à celui par qui le scandale arrive”, ils ne valent pas tripette de toute façon.
Que vaut-il mieux : risquer de choquer et/ou d’attirer quelques timbrés en montrant la réalité, ou n’être qu’allusif ?
Laissons à François et à son équipe le soin d’en décider.
Boreas Commentaire Nº825 - 12/6/2009 - 23:22 |
Sur les relations entre le lobby homo et la pédophilie :
” Homosexualité-pédophilie: Un amalgame ?
22 02 2006
Plainte des jeunesses socialistes: Les “Jeunes UMP” de Bordeaux inquiétés pour “homophobie”
Libération rapporte que le Mouvement des Jeunes Socialistes a porté plainte contre X à la suite de cet article, diffusé par l’UMP-Sciences Po (Bordeaux) et sur le blog des J-UMP de la ville. Condamnant ces propos «homophobes», L’UNEF et MJS ont dénoncé un «amalgame nauséabond» entre pédophilie et homosexualité.
Les socialistes sont plutôt mal placés pour donner des leçons à quiconque. La position du parti socialiste reste traditionnellement très ambigue sur les problèmes de sexualité infantile, nous l’avons déjà démontré avec nos articles sur Libération, le Monde, et les réactions de certains de ses membres (le PS suisse, Sommaruga, le cas Pedroso au Portugal etc.).
Quant à l’amalgame ”homosexualité – pédophilie” tant décrié depuis quelque temps, n’est-il vraiment que le fruit du hasard? Les homosexuels ne sont pas pédophiles, les lobbys d’intérêts homosexuels ont communiqué à maintes reprises sur ce fait avéré et le terme “pédéraste” (du grec paiderastês, paidos “enfant, garçon”, erastês “amoureux”), qui dénonçait une réalité historique par trop dérangeante, à été définitivement rayé du vocabulaire autorisé.
Le grand problème réside dans le fait que la pédophilie, et parfois même pire, a fait partie intégrante des revendications, pour ne pas dire des exigences, des mouvements d’obédiance socialiste à la fin des années 60, parmi lesquels les groupes pionniers de la lutte homosexuelle, encore reconnus et honorés comme tels aujourd’hui par les associations actuelles.
Matzneff, que les lecteurs du BAF connaissent déjà, nous signale Guy Hocquenghem, icône gay des âges premiers s’il en fût, dans la critique qu’il fait de son ouvrage “La Dérive homosexuelle“, comme rejoignant Schérer, un autre auteur du même cru, “dans son refus de la pédérastie platonisante“; le tableau est posé.
7 ans plus tôt, l’émission radiophonique de Ménie Grégoire du 10 mars 1971: “L’homosexualité, ce douloureux problème“ en direct de la salle Pleyel à Paris, où les premiers militants homosexuels s’emparaient de la scène aux cris de “Battez-vous”, marquait la naissance des premières associations de lutte militante gays, dont la plus célèbre fut sans conteste le FHAR (Front homosexuel d’action révolutionnaire). Ce groupement n’est pas le premier de son espèce, nous avons répéré un Comité d’action pédérastique révolutionnaire (CAPR), à la Sorbonne en 68, puis un Mouvement d’action judiciaire (MAJ), le GLH (Groupe de libération homosexuele) et le CUARH (Comité d’urgence anti-répression homosexuelle).
Pour bien saisir le contexte, il convient de rappeler que la sexualité était le bélier que l’époque s’était choisie pour enfoncer l’ordre établi. Par extension, toutes les sexualités, libre, homosexuelle, incestueuse, pédophile, zoophile etc., faisaient office de base revendicative. Il est d’ailleurs assez amusant de voir le FHAR se débattre avec les ouvriers communistes, lesquels refusent net de manifester avec des “tapettes”, ou le “Comité d’occupation de la Sorbonne” s’indigner de la présence d’homosexuels près des toilettes du prestigieux établissement…
Très vite, le FHAR annonce la couleur, dans un premier communiqué “A ceux qui sont comme nous“, dans le n°12 (avril 1971) de la revue Tout, dirigée par un certain Jean-Paul Sartre, co-fondateur du quotidien Libération. On y lit entre autres: “Nous voulons détruire la famille et cette société parce qu’elles nous ont toujours opprimés… A BAS LA SOCIETE FRIC DES HETERO-FLICS ! A BAS LA SEXUALITE REDUITE A LA FAMILLE PROCREATRICE !… Pour un front homosexuel qui aura pour tâche de prendre d’assaut et de détruire la « normalité sexuelle fasciste“. Le décor est posé: la famille est visée et, derrière elle, la société tout entière. Il s’agit d’une guerre révolutionnaire, l’orientation sexuelle est à la fois une situation et un instrument. C’est cette pensée qui soutiendra l’activisme homosexuel jusqu’à nos jours.
“Jamais la bourgeoisie n’a toléré la libre disposition d’un corps en face de n’importe quel autre et en particulier chez les mineurs” lit-on dans le même numéro. “Jamais elle n’a toléré le droit à la tendresse entre tous les corps, si ce n’est comme soupape de sûreté dans quelques lieux privilégiés et fermés“, la révolution sexuelle réclame l’abattage du tabou de la sexualité de l’enfant et, conjointement, une place ouverte et publique pour les sexualités non bourgeoises, à savoir non reproductrices et non familiales. “La lutte des classes passe par les corps” s’exclame la revue homosexuelle Gulliver dans son premier numéro (nov. 1972); le corps de l’enfant n’est pas épargné.
Matzneff, toujours, en 1974, va jusqu’à s’indigner: “Ce n’est pas parce qu’un malade mental étrangle de temps à autre un petit garçon que ces mêmes bourgeois sont autorisés à faire porter le chapeau à tous les pédérastes et à priver leurs enfants de la joie d’être initiés au plaisir, seule éducation sexuelle qui ne soit pas un mensonge et une foutaise” (Gabriel Matzneff, Les Moins de Seize Ans, 1974, cité par Ambroise-Rendu, Anne-Claude, « Le pédophile, le juge et le journaliste », L’Histoire, n°296 (mars 2004), p. 65).
Dans le n° 13 de Tout (17.05.1971), le FHAR publie un courrier de l’écrivain Tony Duvert, un autre habitué du BAF: ”Je ne connais rien de votre mouvement et je ne sais pas à quoi ces articles pourront réellement servir, mais je suis frappé de leurs efforts pour éviter nombre de stupidités que les homosexuels ont l’habitude de penser sur eux-mêmes. Dommage que le problème de la pédérastie, difficile et crucial dans une critique de la société, de la famille et de l’éducation, n’ait guère été abordé, d’autant que vous étiez, il me semble, en état de faire parler ceux qu’on doit entendre: non pas les pédérastes, mais leurs possibles « victimes » mineures. Tony Duvert (Paris)“, on appréciera les guillemets autour de victimes. La dialectique homosexuelle de ces années raille la conception “bourgeoise” d’un enfant victime dans le rapport sexuelle. Rousseauisme poussé à l’extrême: dans son innocence originelle, l’enfant serait une sorte de bon sauvage du sexe. Le sexe, tout sexe étant bon, ne saurait être mauvais pour l’enfant, puisque l’enfant est bon, à savoir non encore corrompu par la société bourgeoise moralisée; seul le tabou de la violence subsistera.
Dès 1977, les pétitions en faveur de pédophiles incarcérés pulluleront: Janvier 1977, pétition de soutien à trois pédophiles, trois hommes condamnés à trois ans de détention préventive par la cour d’assises de Versailles pour ”attentats à la pudeur sans violence sur mineurs de moins de 15 ans“. Les enfants n’ont subi “aucune violence“, ils étaient “consentants“, “si une fille de 13 ans a droit à la pilule, c’est pour quoi faire?“, il n’y a pas “crime“, “trois ans pour des baisers et des caresses, ça suffit“, s’insurge le texte de la pétition. Qui signe? Aragon, Bernard Kouchner, André Glucksmann, François Chatelet, Jack Lang et bien d’autres encore, de Félix Guattari à Patrice Chéreau ou Daniel Guérin. Un peu plus tard, une lettre ouverte à la commission de révision du code pénal exigeait que soient ”abrogés ou profondément modifiés” les articles de loi concernant “le détournement de mineur“, dans le sens ”d’une reconnaissance du droit de l’enfant et de l’adolescent à entretenir des relations avec les personnes de son choix“. Derrière le droit de la famille, c’est l’accès à l’enfant qui est visé, il faut démonter la forteresse qui protège l’enfant. Sous cet angle, la question de l’adoption homosexuelle prend une tout autre tournure… Qui signe? Jean-Paul Sartre, Michel Foucault, Roland Barthes, Simone de Beauvoir, Alain Robbe-Grillet, Françoise Dolto (oui, même Dolto…), Jacques Derrida. Interrogé aujourd’hui, Philippe Sollers, signataire de cette supplique, ne se souvient pas: “Il y avait tellement de pétitions. On signait presque automatiquement“. Tout est là!
C’est dans cette optique qu’un quotidien d’audience nationale, Libération, ne
verra aucun inconvénient à publier le manifeste du “Front de libération des
pédophiles“, définissant la pédophilie comme une culture cherchant à briser la
“tyrannie bourgeoise qui fait de l’amoureux des enfants un monstre de légende”
ou les interview de Jacques Dugué, que le journal ne manque pas de louer pour
“sa franchise quant à la sodomie“, et qui, dans une perspective ouvertement
pédérastique s’interroge: ”Pourquoi un homme n’aurait-il pas le droit d’aimer un
enfant? Un enfant qui aime un adulte, sait très bien qu’il ne peut pas encore
donner, aussi, il comprend et il accepte très bien de recevoir. C’est un acte
d’amour. C’est une de ses façons d’aimer et de le prouver. Ce fut le
comportement avec moi des quelques garçons que j’ai sodomisés. Et puis disons
les choses comme elles se passent. Il aime ressentir dans son corps, le membre
viril de celui qu’il aime, d’être uni à lui, par la chair. Cela donne de grandes
satisfactions. Il a aussi la satisfaction d’être agréable à celui qui le
sodomise qui jouit en lui. Cela lui procure aussi une grande joie, car aimer
c’est aussi bien donner que recevoir.
Cela peut-être dur à admettre pour des
profanes, mais c’est la réalité“. On pensait sincèrement, à l’époque, que le
monde allait changer, les tabous s’effondrer, qu’il suffisait de le vouloir pour
que cela soit “bon”, que les règles morales étaient une création de bourgeois
frustrés pour contraindre les facultés de jouissance, comme ça, juste pour emm…
le monde; on en est bien revenu. On en est bien revenu, mais il aura tout de
même fallu attendre l’émission Bas les Masques de Mireille Dumas, en 1995, et
l’affaire Dutroux, en 1996, pour entendre enfin les plaintes des “victimes” et
oser briser le sceau du silence apposé unanimenent par l’intelligentsia
pédophile.
Pour toute la période allant de 1960 à la fin des années 80, la base argumentative des champions de la libération sexuelle, et homosexuelle, allie sans complexe homosexualité et pédophilie. C’est dans cette optique que l’on a vu nombre d’associations s’engager activement pour l’abaissement de l’âge légal des rapports sexuels et homosexuels. Ainsi, si amalgame il y a, il n’est de loin pas le fait d’une poignée d’homophobes haineux, mais bien celui des pionniers de la libération sexuelle qui, les premiers, associèrent l’un et l’autre dans l’espoir de les faire passer tous deux dans le lot de cette illusoire conception de nouvel âge d’or que tente de nous fourguer toute nouvelle révolution.
Propos réactionnaires, nous reprochera-t-on, Libé, qui traîne ce boulet
depuis bientôt 40 ans a déjà tenté de se justifier, ne parvenant qu’à démontrer
que la foi soixante-huitarde dans la pédophilie n’avait jamais cessé d’être:
”Accuser la révolution sexuelle – qui a fait de l’enfant un acteur, un sujet de
son corps – d’être à l’origine de la pédophilie est autant un contresens que
d’accuser la révolution (y compris sexuelle) des femmes d’être à l’origine des
viols dont elles sont encore aujourd’hui victimes. La révolution sexuelle a
d’abord appris aux enfants, aux adolescentes, aux femmes à dire « non »“.
Confusion tragique: La révolution sexuelle a libéré des adultes, lesquels se
sont mis à violer des enfants, la révolution des femmes a libéré des femmes,
lesquelles n’ont jamais violé personne.
Ce texte qui était une pétition de
soutien à Daniel Cohn-Bendit, était, entre autres, signé par un certain Serge
Quadruppani, auteur, en 1983, d’un article intitulé « Ami(e)s pédophiles,
bonjour!» où l’on peut lire : “Si la pédophilie est la plupart du temps
misérable, il en est de même de tous les rapports “sexuels” et amoureux. Il
n’est pas nécessaire d’être un révolutionnaire pour voir que le supplément de
misère de la pédophilie est le fruit de sa répression sociale. Un pédagogue
libéral américain n’explique-t-il pas que le principal traumatisme que subit
l’enfant “victime” d’un satyre provient de ses parents qui en font tout un plat,
alors que lui, s’il n’y a pas eu violence, aurait plutôt tendance à s’en
foutre?“; rien oublié, rien appris.
Rien de rien, la vieille école pédéraste a même fait des petits: La North American Man/Boy Love association, fondée en 1978 suite au succès d’une campagne de la communauté gay de Boston pour se défendre de la chasse aux sorcières dont elle était l’objet, et qui se veut l’héritière directe de cette libre pensée pédérastique. La NAMBLA veut ”éduquer la population sur la nature bienveillante d’un amour entre un homme et un garçon“, sortir les pédophiles de prison et resserrer la “coopération avec des lesbiennes, des gays, des féministes et autres mouvements de libération“. Arcados, qui se plaît à publier des études sur les effets bénéfiques des relations sexuelles entre enfants et adultes (à signaler que des homosexuelles suisses ont récupéré sans sourciller, l’adresse arcados.ch, et que Moël Volken, responsable de l’association faîtière helvétique Pink Cross, publie des posts sur arcados.com; mais surtout pas d’amalgame)
Alors oui, dans ces conditions, une association homosexualité, dans sa conception lobbyiste, militante et révolutionnaire, et pédophilie, peut être faite. Elle est même saine et nécessaire dans la mesure où elle permet de se souvenir des origines, institutionnelles ou idéologiques de ces même mouvements, qui, aujourd’hui, réclament le “droit” d’adopter des enfants et de les “éduquer”. ”
http://www.bafweb.com/2006/02/22/homosexualite-pedophilie-un-amalgame/
Tskvi Commentaire Nº826 - 12/6/2009 - 23:24 |
Boreas Commentaire Nº818 – 12/6/2009 – 22:43, citant “Libération”
La révolution sexuelle – y compris dans le domaine de l’enfance – nous a d’abord appris que notre corps nous appartenait. Que nous avions le droit d’en faire ce que nous voulions, avec qui nous voulions.
La révolution de mai 68 nous a caché que notre raison ne nous appartiendrait plus. Que nous n’aurions plus le droit de penser ce que notre raison approuvait, mais seulement de répéter ce qu’on nous apprendrait à penser.
çois franc Commentaire Nº827 - 12/6/2009 - 23:26 |
Cohn bendit Pédophile a droit à son groupe sur Facebook.
Boreas Commentaire Nº828 - 12/6/2009 - 23:31 |
Allez, on s’est payé Libé, tapons-nous l’Immonde, maintenant :
” Gauche: L’imMonde relativisme ou quand la protection de l’enfance était “fasciste”
18 01 2006
LE MONDE FACE A SON PASSE PEDOPHILE
Dans un post frais du jour, le succulent Vox Galliae rappelle à son public ébahi qu’avant d’en faire l’apanage des internats catholiques, la gauche française cultivait des droits de pleine exclusivité sur la marque “pédophilie”. Légère amnésie soixante-huitarde, la gauche universelle a réclamé à corps et à cri la libéralisation de l’”érotique puérile” (Le Monde, 17 février 1978). Nous avons déjà réglé son compte à Libération, passons au Monde puisque c’est de lui qu’il s’agit aujourd’hui.
Contrairement à Libération, Le Monde ne s’est livré à la louange de l’abus sexuel envers mineurs que de façon raffinée, prudente, par le biais, essentiellement, de la critique littéraire. C’est souvent via la critique de livres que la pédophilie émerge de l’océan de silence et de réprobation où elle gisait avant que Le Monde ne décide d’en vanter les mérites libératoires:
En octobre 1976, un album publié par Schérer et Hocquenghem est ainsi salué: « les auteurs ne cachant pas que le corps des enfants – sexué, désirant, désirable, ludique – les intéresse. Leur livre n’est pas « à mettre entre toutes les mains » aurait-on dit naguère. On serait bien embarrassé, aujourd’hui, de préciser lesquelles. Celles des parents, peut-être » (Signé R.-P.D., Le Monde, 15 octobre 1976).
En novembre de la même année, c’est Gabriel Matzneff (photo) qui pose la
question: « L’amour est-il un crime? », dénonçant la longue détention provisoire
dont sont victimes depuis trois ans un médecin et ses amis pour « une simple
affaire de mœurs, où les enfants n’ont été victimes de la moindre violence, mais
au contraire, ont précisé au juge instructeur, qu’ils étaient consentants et que
cela leur avait été fort agréable ». Matzneff plaide pour le respect des «
pratiques sexuelles chez la très jeune fille ou le très jeune garçon » et va
jusqu’à invoquer les articles 330 et 331 du Code pénal, complétés par des
ordonnances vichyssoises; argument définitif…
Puis l’argumentation se fait
psychologique: « Aimer un être, c’est aider à devenir celui qu’il est. Or cette
quête d’identité, qui a pour but la possession et la connaissance de soi, est
aussi une quête d’identité sexuelle. Une relation amoureuse, dès lors qu’elle
est fondée sur la confiance et la tendresse, est le grand moteur de l’éveil
spirituel et physique des adolescents, Les perturbateurs des moins de seize ans
ne sont pas les baisers de l’être aimé, mais les menaces des parents, les
questions des gendarmes et l’hermine des juges » (Le Monde, 7-8 novembre
1976).
Deux ans plus tard, en 1978, le même récidive dans le compte rendu fait par ‘Le Monde des livres’ du dernier ouvrage de René Schérer et Guy Hocquenghem et semble mal supporter, c’est le moins qu’on puisse dire, une certaine difficulté d’accès à la chair fraîche imposée par les lois bourgeoises, pour ne pas dire carrément fascistes: « sous le prétexte de « protéger » l’enfant, la société adulte trace autour de lui un véritable cordon sanitaire. (…) Jadis on expliquait à l’enfant que la masturbation rendait fou; à présent on lui apprend à se méfier des vilains messieurs et à les dénoncer à la police (…) Non seulement les enfants ont des droits, écrit Schérer, mais ils étouffent sous eux ». Hier, les enfants étaient accablées d’ « interdits »; aujourd’hui, ils le sont par une législation à prétention pédagogiques, dont le plus clair effet est de les empêcher de disposer d’eux-mêmes, de circuler librement, de se lier d’amitié avec des adultes autres que ceux désignés par l’institution » (Le Monde, 17 février 1978).
Le ton commence à changer un peu l’année suivante sous la plume d’Eveline
Laurent qui, quoique séduite et touchée par ceux qu’elle appelle « les nouveaux
pédophiles », conteste néanmoins « la justesse de leur raisonnement ». « Est-il
possible de croire totalement clairvoyant, par exemple, ce « touriste » quand il
décrit Manille où la prostitution d’enfants s’exercerait sur un mode
paradisiaque avec bénédictions (du père, de la grand-mère, du patron) à l’appui?
|…| On retiendra ce qu’on voudra des propos de Françoise Dolto (drôlement
traitée de « Savonarole des nurserys ») et pour qui toute séduction d’un enfant
par un adulte laisse au premier un traumatisme ineffaçable, il semblerait en
tout cas mal venu d’oublier totalement les liens unissant séquelles du
colonialisme, prostitution et misère dans certains pays » (Le Monde, 31 août
1979 p.1), mais là, on l’aura compris, c’est en fait le colonialisme, métaphore
du viol du prolétariat par le bourgeois paternaliste et pénétrant, qui est en
cause.
Le féminisme fournit de même une improbable base critique: Le même
jour et sur la même page, Roland Jaccard présente le premier livre de Nancy
Huston, « Jouer au papa et à l’amant ». L’ouvrage, assez offensif, dénonce la
bonne conscience hypocrite qui « sous la double bannière de la liberté
d’expression et de la liberté du désir transforme les petites filles en
femmes-objets » (Le Monde, 31 août 1979 p.2). Colonialisme et machisme auront
été les seuls reproches que l’intelligentsia de gauche aura trouvé à faire à la
pédophilie… et ces gens-là dirigent nos médias (cf. July) depuis 40 ans; au
secours!
En 1980, Roland Jaccard salue, dans ‘Le Monde des livres’, la dernière publication de Tony Duvert, L’enfant au masculin, avec ces mots: ce livre « traite d’un sujet qui chagrine les familles, indigne les vertueux, dérange les plus permissifs et choque même les professionnels du scandale: la pédérastie ». Et Jaccard loue cette « pensée si généreuse » qui débusque les « hypocrisies » (Le Monde, 14 novembre 1980).
Enfin, en 1981 encore, Philippe Sollers mêle critique et louanges à propos du dernier livre de Gabriel Matzneff. Reconnaissant en lui un libertin métaphysique, qui « réinvente la transgression, le scandale en se lançant à corps perdu dans l’aventure qui ne peut pas ne pas révulser la loi: la chasse aux mineurs », il ajoute: « Ce dernier point est probablement inacceptable. Il m’est complètement étranger. Je ne juge pas, je constate. Je vois que cela a lieu. J’essaye de comprendre cette fantaisie obstinée, peinte par ses illustrateurs comme un paradis ». Plus loin il explique comment la « pédérastie allusive de Gide |est| ici dépliée, déployée, industriellement décrite » et commente: « il y a dans tout cela quelque chose d’odieux et de sympathiquement puéril » (Le Monde, 25 septembre 1981); nous retiendrons l’odieux.
Dans ledit ouvrage, Matzneff pousse une complainte initiatique: « Nous formons la dernière société secrète, nous sommes les carbonari de l’amour. Persistons dans cet état, le paradis est une chasse réservée » et prévoit le retour de l’obscurantisme: « Nous allons assister au retour du puritanisme et à son triomphe. Aussi aurons-nous plus que jamais besoin de nos masques, qu’ils soient de velours ou de fer…»; la clé est là, la gauche n’a fait que rechausser le masque qu’elle avait tombé en 68, ses buts, ses voies et ses désirs sont restés les mêmes, la société, la femme, la famille, le couple et enfin l’enfant, tabernacle ultime de l’innocence; innoncence qu’il faut détruire, pureté qu’il faut souiller, pour mieux mieux fouler l’humanité aux pieds et crier sa rage de mort à tout ce qui est.
Matzneff n’est ni un fou, ni un fabulateur ni un intello plumitif emporté par l’époque, l’élan et son envie de plaire, Sollers en témoigne: « Ce qui irrite le conformisme ambiant chez Matzneff, je sais bien ce que c’est: sa sincérité, son honnêteté, son refus de tricher en exposant ses contradictions. Mêler, comme il le fait, le sexe à la prière, par exemple, provoque immédiatement le comble du malaise. C’est un bon test, je crois, pour discerner les esprits vraiment libres, libres de tous côtés. La question finale que pose le libertin métaphysique est en effet, celle-ci: existe-t-il des athées qui le soient autrement que par puritanisme inconscient, par effroi de voir s’agrandir les limites de leur jouissance? Et d’autre part: y a-t-il des consciences religieuses qui le soient autrement que par peur et refoulement de la sexualité? ». (Le Monde, 25 septembre 1981). Il faut détruire l’humanité pour libérer l’homme; leur liberté, notre pire esclavage… ”
Jacques Bonhomme Commentaire Nº829 - 12/6/2009 - 23:59 |
1 Nier toute espèce de réalité extérieure à soi.
(Le monde n’est que ce
que JE VEUX qu’il soit.)
2 Il n’existe donc pas de normes biologiques, de règles, de morale.
3 JE suis donc seul juge du bien et du mal, dans le domaine sexuel comme dans le reste.
Planquez vos gosses!
Le bon docteur
Schweitzer Commentaire Nº830 - 13/6/2009 - 0:23 |
@ Boreas
Je reviens sur le site après un petit moment de vie familiale.
[Votre post
824] J’ai juste posé de dilemne qui se pose dans ce genre de cas entre la vérité
nécessaire qui libère et la pudeur. Mais j’ai bien dit qu’il fallait tout sauf
cette omerta et ce silence complice.
[Vos posts 825 et 828] Je lirai in
extenso une autre fois car il est tard. Qu’il y a bien des choses vraies dans ce
que j’ai regardé en diagonale. C’est le sens de mes posts sur l’engrenage du
relativisme sexuel et des dangers de la notion d’”orientation
sexuelle”.
Merci pour ces éléments.
cesar Commentaire Nº831 - 13/6/2009 - 0:26 |
plus je regarde la photo du bouquin,plus je me dit que le crs aurais pus lui péter sa tronche a cet bipbipbipbip surtout qu a l époque il n y avais pas de chichi.
Boreas Commentaire Nº832 - 13/6/2009 - 1:07 |
Le bon docteur Schweitzer
Commentaire Nº830 – 13/6/2009 – 0:23
Pour prévenir tout malentendu, je ne fais pas partie de la police de la pensée et je n’ai aucune envie d’aboutir à des amalgames.
L’ami blh, par exemple, sur un autre fil, a déjà exprimé une opinion, que je partage, sur les nuances à apporter en matière d’orientation sexuelle.
Je pense qu’il faut distinguer des auteurs comme François Augiéras ou Gabriel Matzneff, par exemple, de la racaille criminelle pédomane.
En réalité, il est difficile de fixer une limite d’âge à la liberté sexuelle et il me semble qu’il faut éviter toute généralisation abusive.
Je ne suis pas, personnellement, porté sur les petites filles, ni moins encore sur les petits garçons, mais il faut reconnaître que la puberté, la maturité sexuelle et la conscience qui les accompagne, sont d’âge variable.
Telle gamine de douze ans sera encore une enfant, alors que telle autre sera presque une adulte, parfois perverse. Pensons au calvaire de l’instituteur joué par Jacques Brel dans le film “Les risques du métier” d’André Cayatte…
N’oublions pas également que le passé européen a connu des mariages à des âges qui paraissent étonnants aujourd’hui.
Mes posts ne s’inscrivent que dans la dénonciation de la pédomanie criminelle, non au sens strictement juridique, mais au sens “naturel”.
La question est délicate, certes.
Il ne s’agit pas de tomber dans le binaire.
Au contraire, il est important de discerner le juste milieu et pour ce faire, de distinguer ce qui relève de la vie privée respectueuse de l’intégrité d’autrui, des perversions nuisibles que prétend justifier et excuser le relativisme que vous évoquez.
Mais taper sur la racaille gauchiste donneuse de leçons, en dévoilant ses turpitudes criminelles, ne me paraît pas plus risquer d’attenter à la liberté sexuelle, que de tomber dans l’excès.
Il y a des limites à la liberté sexuelle et les principales, concernant des mineurs, sont à l’évidence la maturité sexuelle et l’existence d’un consentement libre et conscient.
En ce sens, à mon avis, Cohn-Bendit a incontestablement franchi ces limites et, même si les faits remontent à plusieurs décennies, cela ne change rien à mes yeux, puisque jamais il n’a manifesté le moindre reprentir sincère.
Et il n’est pas le seul, dans son milieu.
Sans doute ce salopard n’est-il pas non plus le pire, dans ce domaine.
DarkVeauDor Commentaire Nº833 - 13/6/2009 - 1:45 |
Boreas
Commentaire Nº828 – 12/6/2009 – 23:31
“Allez, on s’est payé Libé, tapons-nous l’Immonde, maintenant…”
___
D’évidence, c’est sur ce fil qu’il faut tirer.
Dany, c’est l’arbre qui cache la forêt, la forêt de tous ses copains d’idéologie, maintenant aux manettes, qui ont bâfré dans le même pot de confiture, et qui aujourd’hui sont contraints, pour sauver leur cul, de tous se lever pour sauver le cul de Dany.
Car en lisant cette presse de l’époque, des July & Co, on comprend qu’il ne s’agissait pas de “provoc’”, mais bel et bien qu’ils pensaient ce qu’ils disaient, et l’ont mis en pratique.
cipamoimsieur Commentaire Nº834 - 13/6/2009 - 1:57 |
vous rendez vous compte tous de l’utopie?
discrediter un gaucho
“populaire” (sic) aux yeux des merdias?
autant aller voir l’hopital pour
qu’elle se foute de la charité!
de plus les bulots sont si profondément
operculés qu’ au cas ou vous réussiriez à égratigner son image pieuse de juif
allemand , vous en feriez un martyr( re-sic)
ps est il dangereux de donner
des “dany” à ses enfants?
Boreas Commentaire Nº835 - 13/6/2009 - 2:19 |
” vous rendez vous compte tous de l’utopie? ”
Ouais, et alors ?
L’utopie est peut-être la réalité de demain, sauf si on ne fait rien pour qu’elle le devienne.
Et je préfère notre utopie à celle du système.
Qui ne tente rien n’a rien.
” discrediter un gaucho “populaire” (sic) aux yeux des merdias? ”
On s’en fout, des merdias.
Ce n’est pas eux qu’on cherche à convaincre.
Si on ne peut pas les acheter ou les subvertir, on privilégie le buzz sur internet. C’est gratuit.
Or, le buzz existe désormais.
” les bulots sont si profondément operculés ”
Ne jamais sous-estimer personne.
Qui n’a pas été un bulot à un moment donné ?
cipamoimsieur Commentaire Nº836 - 13/6/2009 - 3:22 |
en plus de croiser les doigts devant le sapin mon bon boreas, n’oubliez
d’allumer un petit cierge!
et puis non un gros tiens.
si les gens devaient
suivre, ce ne sont pas les occasions qui ont manqué ces dernieres années!
les
muzz feraient la même chose qu’en inde, la majorité des bulots n’entrouvrirait
même pas l’once d’un opercule.
vous vous fichez des merdias?
vous comptez
communiquer par pigeon voyageurs?
et la grippe aviaire, c’est pour les
canaris?
ouaih j’ai fait un bon gros buzz!! et après, les votant potentiels
de dany se retourneront vers nous, plein de reconnaissance de leur avoir ouvert
les yeux?
je vous envie mon bon boreas, j’aimerai avoir votre
crédulité.
tout ce qu’il y a esperer c’est que le jour ou ça petera, on sera
pas trop vieux pour se defendre.
malgré ce qui nous oppose, sachez que je
vous considère comme un des miens et que je serais pret à vous défendre le jour
du jugement dernier(bon faut pas que ça soit trop loin non plus)
Boreas Commentaire Nº837 - 13/6/2009 - 3:28 |
Bah, cipamoimsieur le Bon Samaritain, restez donc comme vous êtes.
Ne faites rien, il vous arrivera bien quelque chose quand même.
Il se pourrait juste que ce ne soit pas ce à quoi vous vous attendez.
cipamoimsieur Commentaire Nº838 - 13/6/2009 - 4:00 |
je ne fais rien?
qu’en savez vous mon bon boreas?
ne pas faire le buzz
c’est ne rien faire?
si je prefere m’interesser à ce site et n’intervenir qu’
avec ironie , cela me regarde, ça n’empeche que dans la vie réelle je sais
montrer les crocs, defendre les miens et mes semblables contre les cpf. je ne
suis pas zorro, cependant il m’est arrivé plus d’une fois des bricoles.un jour
qui sait, je trouverais mon maitre, jusque la j’ai défoncé quelques
bouches.
ce a quoi je m’attends?une bonne guerre civile avec d’un coté des
pleutres, de l’autre des cpf sur excités et des gens comme nous isoles , seuls à
se battre.
etant donné que je ne vous connais pas, je ne peux me permettre
d’insinuer que vous ne “feriez rien”. merci d’en faire de même avec ceux qui ne
partagent pas vos illusions.
quand a vos allusions de bon samaritain, je n’ai
pas la pretention de pouvoir de changer les consciences, moi.
c’etait juste
ironique
ce site n’est pas reservé a boreas que je sache!
Boreas Commentaire Nº839 - 13/6/2009 - 4:07 |
” ce site n’est pas reservé a boreas que je sache! ”
Putain mais qui dit le contraire ?
Allez bonne nuit, l’âme en peine.
français2souches Commentaire Nº840 - 13/6/2009 - 4:13 |
la fameuse solidarité fds…en lisant certains commentaires y en a qui doivent se marrer,de lucide on aurait vite fait d’etre juger comme simplement intolérent!
cipamoimsieur Commentaire Nº841 - 13/6/2009 - 4:27 |
l’ame en peine?
la mon bon boreas je vais pas tarder de montrer les
crocs.
pensez vous que si j’etais en peine, je ferais de l’humour assez
souvent?
c’est mon droit et je vous emm…..
vous etes agressif a mon egard
sur plusieurs post et com et je ne fais que contre attaquer
intolerent, c’est
le mot juste.
je tolere bien votre vision, mon bon boreas, même si je ne la
partage pas et que j’ai le droit de le dire.
vous , vous ne tolerez pas une
autre vision que la votre
Boreas Commentaire Nº842 - 13/6/2009 - 4:33 |
Pauv’ victime, va !
cipamoimsieur Commentaire Nº843 - 13/6/2009 - 4:44 |
victime de quoi?
du cac 40?
plus nous “conversons” et plus je pense que
votre progressisme vient du fait que vous vous ecrasez bien trop souvent devant
les cpf.
mal embouché, agressif dans le virtuel, victime dans la vie
réelle…
je vous comprends, ça ne doit pas etre facile
néammoins je ne vous
en veux pas
je veux bien même faire des efforts quand vous serez calmé
cipamoimsieur Commentaire Nº844 - 13/6/2009 - 5:20 |
vous voulez vous entendre avec les repentis qui afflueront par milliers( peut
etre qu’en allant a lourdes…un gros cierge hein boreas) et vous n’etes pas fichu
de tolerer un natio comme moi?
vous vous foutez de la gueule du monde ou
c’est le fait que vous soyez obtu qui vous empeche de voir la réalité en
face?
pauv’idéaliste va!
Knut Commentaire Nº845 - 13/6/2009 - 8:58 |
Le monde d’aujourd’hui :
L’enfant : Maman, papa, le monsieur il m’a fais des choses… pas belles.
Les parents : mais non mon chéri, c’est pas grave, le monsieur savait pas que c’était mal. De son temps, c’était autrement, faut pas lui en vouloir. Allez, n’y penses plus. Et va vite demander pardon au monsieur, c’est pas bien de rapporter.
Françoise Commentaire Nº846 - 13/6/2009 - 9:02 |
CB est tout de même associé dans ces élections au juge Eva Joly, qui semblait très prude et droite et sévère dans ses jugements envers les affaires dont elle s’est occupé. Alors il faudrait lui poser la question simplement si elle est au courant de ces faits et qu’aurait-elle à répondre. Je suis génée par ce silence de sa part. Lui envoyer ces videos peut-être ??
Marie Commentaire Nº847 - 13/6/2009 - 9:18 |
Et si nous étions les parents, nous dirions :
“présente le moi que je lui casse la G… à ce monstre immonde et répugnant!”.
Je ne sais pas mais si je le croisais par hasard, je ne sais si je pourrais m’empêcher de lui cracher dessus. Pourtant je suis un peu timide et ai une cetaine éducation.
Et dire qu’il y a 16% de bobos, d’aveuglés qui font confiance en cette pourriture !
Father Mckenzie Commentaire Nº848 - 13/6/2009 - 10:03 |
Avons nous une traduction en turc ? Il se pourrait qu’informés qu’à Bruxelles on préfere les pédos aux nationalistes , les Turcs soient moins pressés d’y entrer .
Abélard Commentaire Nº849 - 13/6/2009 - 10:31 |
JMLP plusieurs fois condamnés pour ses opinions sur l’histoire non conformes au dogme .
Cohn-Bendit qui incite à la pédophilie et fait de la vantardise sur ce sujet,défendu par toutes les médias contre Bayrou, pourtant si politiquement correct.
Nous voyons bien que nous sommes en judéocratie. Ce sont les amis de Cohn-Bendit qui ont pris le pouvoir dans les médias en France, associés et complices de Sarkozy. Tous de connivence, avec les mêmes intérêts : l’argent et la destruction des patries en Europe.
sardoz Commentaire Nº850 - 13/6/2009 - 10:40 |
http://www.israelshamir.net/French/danny.htm
exrtraits juteux :
Cohn-Bendit a le feeling : ça le fait ! Il a tellement de réalisations à son actif. Il a fait la promotion du démantèlement de la Yougoslavie. Il a soutenu les bombardements de l’Otan sur la Serbie, jusqu’à résipiscence. Mais la cause juive monopolise le plus clair de son temps et de ses efforts. Il est très fier de voir que l’Allemagne a fourni à Israël des sous-marins à capacité nucléaire aux frais du contribuable allemand. « Ce cadeau est le prix que les Allemands devaient payer, pour l’Holocauste », nous dit sans rire le parlementaire allemand. Pourquoi un million de victimes potentielles (très probablement arabes) devraient-elles représente la compensation désirée? N’est-il pas inquiet de voir l’Irak, ou la Syrie, devenir une cible pour les missiles nucléaires lançables depuis ces sous-marins? Je lui pose la question. Non, il n’est pas inquiet. Bon, eh bien, tant mieux ! Mais, pourtant, les maniaques criminels qui gouvernent aujourd’hui la Terre Sainte évoquent sans ambages la possibilité d’ « entraîner le monde entier derrière eux dans la destruction totale », comme l’a rapporté Martin van Creveld de l’Université Hébraïque? le coincé-je. Son pays pourrait aussi avoir à en souffri? Quel pays? demande Danny, candide… Né en France, parlementaire à Bruxelles et à Strasbourg, amoureux d’Israël, Danny, du coup, a oublié qu’il représente l’Allemagne! Un juif ne peut donc pas aimer son pays? Mais si! Pour peu qu’il sache lequel c’est!
……………………….
La raison, je vais vous la dire: c’est, qu’en règle générale, un juif est incapable d’appliquer l’impératif catégorique de Kant, qui veut qu’une loi, pour être valable, doit être universelle. Cela nous donne une bonne définition de ce qu’est un juif : « une personne incapable de porter un quelconque jugement moral objectif », car les anciens critères religieux ou ethniques, le moment opportun venu, et comme par enchantement, ne s’appliquent plus. Son jugement sera constamment différent, selon que l’objet sur lequel il porte sera bon pour les juifs, ou mauvais pour les juifs. Les armes de destruction massives sont mauvaises, mais uniquement quand ce sont des Gentils qui les détiennent. Entre des mains juives, elles sont belles et bonnes. Le nationalisme d’un goy : Mauvais. La dévotion à la cause juive : Bon. Des droits égaux pour les juifs et les non-juifs ? En Europe : Bon. En Palestine : Mauvais. Karsli était mauvais pour les juifs : par conséquent, il fallait qu’il dégage.
Viré du parti Vert par Cohn-Bendit, Karsli a rejoint le FDP de Juergen Moellemann, un homme politique allemand courageux, qui protestait contre le réarmement d’Israël et contre le contrôle juif sur les médias allemands. Cela n’a pas duré : Juergen Moellemann a connu un sort tragique. Amateur de parachutisme, manque de bol : ses deux parachutes ne se sont pas ouverts. [Presque au même moment, à Stockhom, Anna Lindh, ministre suédoise des Affaires étrangères, et qui soutenait avec constance la cause palestinienne, était assassinée.] La carrière politique de Karsli venait d’être tuée dans l’œuf.
enrico Commentaire Nº851 - 13/6/2009 - 11:09 |
dans le fin semaine je vous le traduit en italien.
Marcelle Commentaire Nº852 - 13/6/2009 - 11:14 |
Faudrait quand même qu’ils arrêtent de nous enfumer avec cette histoire de contexte qui excuserait tout.
De 1968 à 1982, il s’est tout de même passé quatorze ans – ça laisse normalement à toute personne disposant dans son crâne d’un cerveau (plutôt que d’un cake aux herbes mal cuit) le temps de s’en servir, et d’exclure l’idée qu’un enfant puisse s’épanouir sexuellement dans les bras d’un adulte qui le laisserait farfouiller dans sa braguette.
Entre 1975 (Grand Bazar) et 1982 (Apostrophes), il s’est tout de même passé sept ans, bien suffisants pour constater les dégâts sur les enfants de ce « Jardin alternatif ».
J’ai croisé pas mal d’adultes qui, enfants, avaient été abusés – et pour
certains, c’était effectivement dans le cadre « festif » de la
« libération sexuelle » des années septante. Or, aucun ne parle de ça
comme d’une « belle époque de liberté », comme une « période
d’épanouissement », comme d’une « ère de découverte et
d’expérience ». Aucun ne parle d’« enfance heureuse ».
Aucun
n’affirme que « Que veux-tu, c’était l’Après-68, il fallait bien que
jeunesse se passe, et que nos parents jouissent sans entraves sur nos fessiers
graciles… »
Non.
Le contexte de Mai-68, c’est de la MERDE, comme argument, et c’est de la
MERDE tout court. Et c’est surtout la preuve du caractère profondément mortifère
de cette idéologie qui se voulait subversive. Ils ont voulu se débarrasser de
tous les principes, les principes « moisis » qui viennent « d’en
bas, [qui viennent] du terroir. »
Ils ont craché sur la famille, sur la
terre, sur le pays, sur le passé, et sur les enfants, devenus pour ces gens-là
des objets d’expérimentation de leur égoïsme maladif et pervers.
Et nous, les Français, les Européens, qui nous cognons déjà depuis quarante ans cette idéologie de MERDE qui a cherché à saper tous les fondements de notre société (y parvenant dans une certaine mesure), il faudrait qu’on applaudisse encore et qu’on ferme notre gueule lorsque le héraut de la Décadence se fait encore élire au Parlement européen, en dépit de tout le mal qu’il a déjà fait ?
Et puis, comme ça, ce serait mal vu de « remuer la merde », de ressortir
les « vieux dossiers » ?
D’une, la pédophilie n’est pas un
« vieux dossier », même politiquement, puisque les victimes de ces
pratiques ont aujourd’hui l’âge de voter et d’être représentés.
De deux, la
merde, c’est pas nous qui l’avons mise, que je sache, et ce n’est pas nous qui
continuons à l’étaler au Parlement ou je ne sais où.
DE QUEL DROIT CET ÜBER-SOIXANTE-HUITARD-APATRIDE, et qui n’a jamais cessé de
se réclamer de cette « révolution » merdique et merdeuse qui a bousillé
tant de principes élémentaires (y compris celui consistant à ne pas tripoter des
gamins), représente-t-il le peuple au Parlement ?
Et puis, quel
peuple ? 68 s’est toujours moqué du peuple et des gens. Cohn-Bendit a
toujours méprisé le peuple, il n’est qu’à voir ceci :
http://www.fdesouche.com/articles/44962
Y en a marre, de trouver des excuses à Cohn-Bendit ou à d’autres, sous la forme d’un « contexte ». Le contexte de 1968, ce n’est pas moi qui l’ai inventé, ni personne ici : c’est Cohn-Bendit et tous ses amis pourris gâtés. Qu’ils assument, bordel ! Depuis quarante ans, ils se réclament de ce contexte, et là…, d’un coup d’un seul, parce que ce n’est plus très « mode » de caresser des gamins, ça y est, paf, on accuse le contexte, comme si ce putain de « contexte », ce n’étaient pas des gens qui l’avaient pondu. Ils se foutent de notre gueule. Le contexte, c’est eux qui l’ont créé, c’est eux qui l’ont imposé, et ceux qui, encore une fois, cherchent à nous le mettre bien profond, leur sale contexte de 68.
ZUT !
40 ANS DE 68, Y EN A MARRE !
LEUR CONTEXTE, C’EST FINI ! QU’ILS
DISPARAISSENT AVEC.
Serviteur Commentaire Nº853 - 13/6/2009 - 11:55 |
…
remarquez, en-dessous, avec les mots-clefs du Nouvel obs, cohn bendit est à côté d’”abus sexuels”…
Father Mckenzie Commentaire Nº854 - 13/6/2009 - 12:18 |
Il n’y a pas de contexte , en 68 , en 82 , en 2009 l’équation est la meme “braguette ouverte” + “petite fille de cinq ans” = pointeur .
Marcelle Commentaire Nº855 - 13/6/2009 - 12:27 |
Mais évidemment, FatherMckenzie, qu’« il n’y a pas de contexte ». Nous sommes bien d’accord !
À titre personnel, je n’ai d’ailleurs pas besoin non plus d’écouter Cohn-Bendit, en 1968, en 1975, en 1982 ou en 2009, pour constater (« ça se voit rien qu’à sa trogne… ») l’évidence : fini à la pisse, le Cohn-Bendit, et « le temps ne fait rien à l’affaire ».
Mai-68 et sa pédophilie soi-disant inhérente, c’est de la MERDE, en 1968, en 1975, en 1982 ou en 2009. De toute éternité, c’est de la MERDE.
Effectivement, « l’équation est toujours la même ». Et je ne vois pas pourquoi on n’aurait pas le droit d’en dénoncer les termes, aujourd’hui comme hier.
68 est encore au pouvoir.
On a le droit, B… de M…, de s’y opposer.
Father Mckenzie Commentaire Nº856 - 13/6/2009 - 12:34 |
Nous sommes d’accord .
Father Mckenzie Commentaire Nº857 - 13/6/2009 - 12:36 |
cipamoimsieur Commentaire Nº858 - 13/6/2009 - 12:38 |
on entend d’ici le slogan de ses défenseurs :
nous sommes tous des juifs
allemands pedophiles ecolos cherchant une ouverture à gauche .
il parait que
le sieur “bobot” de paris en serait!!
zoreille Commentaire Nº859 - 13/6/2009 - 12:45 |
Peine de mort, vous avez dit peine de mort ? Comme pour Julien Dray ?
Marcelle Commentaire Nº860 - 13/6/2009 - 12:56 |
« on entend d’ici le slogan de ses défenseurs : nous sommes tous des juifs allemands pedophiles ecolos cherchant une ouverture à gauche . »
Oui alors, là-dessus, on va être clair : que Cohn-Bendit se prétende
juif, Allemand, ou je ne sais quoi encore, on s’en contrebranle. À chacun sa
croix.
Fait ch… à la fin : bientôt, on va nous dire que si on ne défend
pas la « pédophilie contextuelle », c’est par antisémitisme ou
antigermanisme ! Faut arrêter de pousser mémé dans les orties !
C’est
trop facile. Et c’est n’importe quoi.
Fedor Commentaire Nº861 - 13/6/2009 - 13:17 |
Et que pensa Michel Polac du livre “le grand bazar”, hum ?
Visclo Commentaire Nº862 - 13/6/2009 - 15:03 |
Jmlp parle de la vidéo d apostrophe far sur journal de bord du 12 Juin sur le site et fn
“Il n’y a pas de contexte , en 68 , en 82 , en 2009 l’équation est la meme “braguette ouverte” + “petite fille de cinq ans” = pointeur .”
Le “contexte” c’est que Cohn-Bendit ne représente que la pointe émergée d’un iceberg qui s’est complu comme lui dans toutes les turpitudes. On signe donc un blanc-seing pour celui qui a fait comme les copains.
zoreille Commentaire Nº864 - 13/6/2009 - 15:17 |
Nouvel Ordre Mondial = théorie du complot ???
Marcelle Commentaire Nº865 - 13/6/2009 - 15:42 |
« Le “contexte” c’est que Cohn-Bendit ne représente que la pointe émergée d’un iceberg qui s’est complu comme lui dans toutes les turpitudes. On signe donc un blanc-seing pour celui qui a fait comme les copains. »
Exactement, Vertumne. Et je tiens à redire que certains, toujours en poste,
s’y complaisent encore, dans les turpitudes… Comme je l’ai déjà dit plus haut,
les surnoms de certains haut-placés sont des plus signifiants (et les expatriés,
en Afrique notamment, pourraient sans doute témoigner de certains
« usages » dans certaines « ambassades »).
Si Cohn-Bendit
devait tomber, il ne serait pas le seul… Ils se tiennent « par la
barbichette » (comme disait sainte Rita), et par la peau des c…
Voilà
pourquoi, au-delà du cas Cohn-Bendit, faut pas se gêner pour secouer (même un
tout petit peu, même à notre toute petite échelle de peuple) l’arbre – et
faire tomber les fruits pourris.
sainte Rita Commentaire Nº866 - 13/6/2009 - 15:52 |
Je n’avais pratiquement jamais lu Liberation, je le lis parfois lorsque
quelq’un met un lien c’est tout. Je suis stupéfaite par les copiés-collés de
Boréas, mais dans quelle merde nous sommes nous laissés embarquer sans qu’il y
ait eu si peu de réactions ?
Ces journalistes gauchistes complaisants et
surement participants/sympathisants pour certains, et autres “intellos”
activistes haïssant cet ordre dit bourgeois n’ont eu de cesse que de détruire ce
pays.
Par tous les moyens.
visclo Commentaire Nº867 - 13/6/2009 - 15:54 |
Mariane fait sa une sur le grand bazar
http://www.marianne2.fr/A-lire-des-maintenant-le-n-634-de-Marianne,-le-grand-bazar-Cohn-Bendit,-le-PS,-Bayrou,-Besancenot_a180664.html
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