Génération Démocrate soutient Gilles Artigues

Le club politique Génération Démocrate mais aussi de nombreux adhérents, élus et sympathisants démocrates ont décidés de soutenir la candidature de Gilles ARTIGUES pour conduire la liste Modem du Grand-Sud-Est aux Elections Européennes.

Nous considérons que François Bayrou et le Modem dans son ensemble sont redevables envers Gilles Artigues, qui a su rester fidèle à ses principes et à la morale politique, ce qui lui a coûté son siège de député à l'Assemblée Nationale. De plus, le Modem a un besoin d'élu et son score aux élections municipales de Saint-Etienne (20,23%), ainsi que son indépendance au second tour font de lui le mieux placé pour représenter les démocrates.

Vous pouvez lui manifester votre soutien directement sur gillesartigues.com et répondre dès maintenant à ce sondage si vous êtes sympathisants ou adhérents démocrates.

Démocrates, donnez votre avis !
Gilles Artigues doit-il conduire la liste Modem Grand-Est aux élections européennes de Juin ?
Oui
Non
NSP

Résultats

Les activités de Génération Démocrate reprendront à partir de Janvier 2009

Après quelques mois d'interruption, les activités de Génération Démocrate reprennent enfin.
Le nouveau délégué général de Génération Démocrate prendra ses fonctions en janvier.

Nous étions 800 adhérents en mars dernier, répartis sur toute la France. N'hésitez pas à nous rejoindre en adhérant !

Amitiés

Sébastien Perros
Président de Génération Démocrate
http://www.perros.fr/

Elections lyonnaises : premier bilan

Des résultats aux élections cantonales prometteurs à Lyon : 9% de moyenne

L'équipe Modem des cantonales remercient les électeurs qui nous ont accordé leur confiance. Conscients que nos résultats dépendaient beaucoup de la campagne des municipales, nous avons pu toutefois nous exprimer et défendre les valeurs du Modem en réalisant en moyenne 9% sur les 6 cantons où nous étions présents.

Un premier enseignement : Il est nécessaire de préciser le positionnement du Modem...

Les 3,6% obtenus par le Modem au niveau national sont le résultat d’un positionnement peu clair et d' alliances à géométrie variable qui troublent les électeurs. Autant il ne fait aucun doute que nous partageons les mêmes valeurs, autant il est nécessaire de clarifier notre stratégie très rapidement pour éviter l’implosion du parti.

A titre personnel, je suis convaincu que la vie politique française doit tendre vers une opposition entre les démocrates et les conservateurs, opposition qui a l’avantage de cristalliser le débat sur les idées progressistes. Ce positionnement clair rend actuellement illusoire des alliances du Modem avec l’UMP de Nicolas Sarkozy et exclut tout rapprochement avec la gauche anti-européenne.

Le Modem ne doit évidemment pas devenir un supplétif du PS. Les sociaux-démocrates de ce parti ont cependant tout intérêt à construire avec nous le grand parti démocrate auquel nous aspirons pour défendre les priorités sur lesquels nous devons concentrer notre énergie : la construction européenne, l’environnement, l’efficacité du service public et le désendettement, le soutien à l’initiative privée, l’éducation, le renouvellement des hommes et des pratiques politiques.

Les choix des candidats Modem pour le second tour des élections cantonales

En toute transparence, nous exprimons nos préférences personnelles pour le 2eme tour des cantonales. Il est utile de préciser que ces choix ne sont dictés que par des convictions personnelles et non par des tractations entre partis.

Dans le 13eme canton (Montchat), je voterai personnellement pour Najat Belkacem.
Stéphane Sacquépée a quant à lui décidé d'apporter sa voix à Louis Pelaez dans le 12eme canton.
Toujours de façon concertée, les candidats de l'équipe cantonale ont également décidé de ne pas apporter leur soutien aux candidats, quand il y a un 2eme tour, sur le 1er canton, le 2eme canton, le 9eme canton et le 10eme canton. Il ne s’agit évidemment pas de consignes de vote, les électeurs du Modem étant suffisamment informés pour décider par eux-mêmes.

Rassembler et construire, c’est téléphoner à ses adversaires d’hier, ce n’est pas prendre un verre avec ses amis…

Même si je me suis opposé et que je continuerai à m'opposer en interne à certains candidats aujourd’hui élus à Lyon, je m’opposerai également à toute tentative d’exclusion demandée à leur encontre. Ce comportement totalement stérile ne fait pas avancer le Modem et les adhérents en ont assez des luttes incessantes.
   
Heureusement, la reconstruction peut maintenant commencer avec des candidats de rassemblement ayant obtenus des scores très honorables à Saint Genis Laval, Sainte Foy, Villeurbanne, Rilleux, Bron, Meyzieu... A Lyon, les élections cantonales ont été mises à profit pour rassembler plusieurs tendances du Modem. les bons résultats ont démontré qu’il était possible de travailler ensemble. Je participerai donc à toute initiative qui ira dans ce sens, notamment pour la construction de la Fédération du Rhône.

Ni pauvre, ni soumis : plus de 12 000 signatures pour le pacte de soutien

Signaturenpns

Parce que les questions liées au handicap sont des enjeux centraux dans la politique des conseils généraux, j'ai été contacté par l'APF (association des Paralysés de France) dont je relaie ici l'information et le pacte que je vous invite à signer.

12 000 signatures, c'est bien ! Mais pour faire entendre et rendre visible les revendications du mouvement inter associatif massif "Ni pauvre, ni soumis", il faut continuer à signer et faire signer le pacte de soutien !

Pour signer le pacte de soutien, cliquez ici.

Episode 6 : Où Watson discourt de mythologie

1_2 Par Monsieur X

Watson
: Ne trouvez-vous pas que l’atmosphère au Modem a quelque chose de shakespearien ?

Holmes (fumant la pipe) : Que voulez-vous dire mon cher Watson ?, que tout le monde meurt à la fin ?

Watson : Certes non, encore que nous n’en sommes pas loin. Alors que diriez-vous des Atrides comme allégorie du Modem, cette antique maison maudite par les Dieux et dont les membres s’écharpent joyeusement ?

Holmes : Qui joue le rôle du roi Agamemnon ?

Lire la suite "Episode 6 : Où Watson discourt de mythologie" »

Six MoDem candidats aux cantonales

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27 Février 2008 : "Leur position entre les deux  tours sera déterminée en commun"

Leprogrescantonales_3 Que la vie doit leur paraître douce et leurs candidatures un long fleuve tranquille comparées aux mésaventures de leurs camarades présents sur  les listes municipales !

Hier, les six candidats que le MoDem présente aux élections cantonales ont lancé leur campagne. Unis, rassemblés autour de celui qui fait figure de tête de proue pour ses élections, Sébastien Perros, ils insistent sur le fait que loin des chicaneries qui ont fait tant de mal au MoDem dans la course aux municipales, les candidats représentent toutes les familles du MoDem : « Il y a des UDF de longue date, des UDF plus récents et puis des MoDem nouveaux. Certains avaient suivi Christophe Geourjon, d'autres étaient engagés dans les équipes d'Éric Lafond. » Voilà pour la façade la plus lisse. Derrière, deux ou trois points sont un peu moins nets. Même s'ils disent que les campagnes municipales et cantonales sont menées de concert, les postulants au Conseil général ne souhaitent pas dévier de leur propos cantonales-cantonales. Évoquer la position d'Anne-Marie Comparini qui a désavoué Éric Lafond (Le Progrès d'hier) crée une gêne manifeste et ne tombe qu'un laconique : « Elle approuve la démarche de rassemblement ».

« Le MoDem est un peu une start-up »
Lorsqu'il leur est demandé de qui ils se rapprocheront à l'assemblée départementale, la réponse est dilatoire : « Si on est élu ça dépendra du rapport de force. Ça nous embêterait autant de nous rapprocher du PS que de l'UMP. Si on pouvait être majoritaire, ce serait mieux ». Quant à la position des candidats MoDem entre les deux tours, ce sera le fruit « d'une décision commune ». L'interrogation sur leur application particulière de la parité - six titulaires hommes, six suppléants femmes - entraîne aussi un pas de deux un peu confus pour au bout du compte reconnaître, sans être forcément convaincant, qu'il est « plus difficile de trouver en très peu de temps » des femmes qui acceptent d'être en première ligne.
En revanche, plus de langue de bois lorsqu'est évoqué l'avenir du MoDem. Sébastien Perros répond avec une très contemporaine métaphore : « Le MoDem est un peu une start-up qui démarre vite et grandit trop vite. On risque donc le dépôt de bilan. Si on arrive à passer, on continue à construire. Nous venons de passer cette période et nous sommes assagis désormais. »

Les candidats aux cantonales accompagneront cet après-midi François Bayrou dans sa balade en presqu'île.

Lyon I : titulaire, Philippe Gibert - suppléante, Francoise Gadrey
Lyon II : titulaire, Sylvain Moulin - suppléante, Nathalie Colliot
Lyon IX : titulaire, Gilles Préveral - suppléante Sarah Chaboud
Lyon X : titulaire, Mathias Rambourg - suppléante Charlotte Hoffmann
Lyon XII : titulaire, Stéphane Sacquépée - suppléante Anne Bertinotti
Lyon XIII : titulaire, Sébastien Perros - suppléante, Marie-Hélène Lavirotte

Article paru le 27 février
Par Michel Rivet-Paturel  - Lire
l'article

A Lyon, le Modem présente ses candidats aux cantonales.

Une idée simple pour la campagne des cantonales : présenter aux lyonnais un Modem uni.

Le Modem lyonnais présente aux électeurs lyonnais un message confus pour ces municipales. La multiplicité des candidats troublent notre message. Certains se retrouvent sur les listes Collomb, d’autres sur les listes Perben et enfin certains sur les listes Lafond.

Après des mois de déchirements, l’équipe des cantonales à Lyon a souhaité présenter une équipe de rassemblement. Nous partageons les mêmes valeurs et sommes arrivés au Modem attirés par les mêmes fondements : l’urgence écologique, une Europe forte, un nécessaire désendettement, la reconnaissance des entreprises et notamment des PME, le renouvellement des hommes et des pratiques politiques…
C’est cela que nous souhaitons présenter ensemble aux lyonnais.

Nous invitons les adhérents Modem à participer à cette campagne des cantonales qui, au-delà de l’échéance électorale, a également pour vocation de reconstruire ensemble le Modem lyonnais, sur des bases saines.

Cette campagne des cantonales préfigurera le visage du Modem de demain.

Les candidats investis par le Modem

Sébastien Perros
se présentera sur le 13eme canton de Lyon.
Mathias Rambourg se présentera sur le 10eme canton de Lyon.
Sylvain Moulin se présentera sur le 2eme canton de Lyon.
Gilles Préveral se présentera sur le 9eme canton de Lyon.
Stéphane Sacquépée se présentera sur le 12eme canton de Lyon.
Philippe Gibert se présentera sur le 1er canton de Lyon.

Ce dimanche, état des lieux du Modem lyonnais...

Auteur_perros Par Sébastien Perros

Cet état des lieux est évidemment sujet à caution même si j’ai essayé de reprendre tous les arguments que j’entends depuis quelques jours et que je tiens des principaux intéressés.

Le plus simple à comprendre : Ceux qui ont rejoint la liste Perben

Le chef de file Christophe Geourjon a rejoint comme annoncé depuis longtemps la liste Perben. Il sera accompagné par Bernadette Bertrix, Marc Augoyard et Fouziya Bouzerda. Ils n’avaient déjà pas le soutien des adhérents, ils sont aujourd’hui marginalisés. Je suis peut-être un petit peu partisan mais je doute recevoir beaucoup de commentaires défendant cette position qui représente au delà des choix politiques, un manque d’honnêteté envers les adhérents du modem. Leurs plus proches soutiens les quittent.

Une des conséquence : Le Modem n’a plus d’instances de la Fédération du Rhône.

Christophe Geourjon a démissionné de ses fonctions de délégué départemental, ainsi que Michel Mercier de ses fonctions de Président de la Fédération du Rhône. Il n’est pas confirmé que Michel Mercier quitte le Modem, il n’aurait pas démissionné de ses fonctions de trésorier national.

Reste donc deux "tendances" pour ces municipales, et j’espère qu'elles ne vont pas se déchirer. Voici les arguments utilisés par ces deux « familles ».

Les 100% autonomistes

Eric Lafond a demandé l’investiture à François Bayrou pour mener une liste qui se maintiendrait au second tour si elle atteignait les 10%. Pour un résultat entre 5% et 10%, les intentions d’Eric Lafond ne sont pas encore connues (fusion ou non).
Eric Lafond a déclaré samedi que l’investiture lui serait officiellement accordée par François Bayrou mardi prochain sur ce site.
Pour les plus pessimistes, cette liste ne pourra pas présenter des listes dans tous les arrondissements avant la date de clôture dans 15 jours, et fera moins de 5% dans plusieurs arrondissements. Pour les plus optimistes, elle atteindra 10% et sera en mesure de se maintenir au second tour.

  • Principaux arguments avancés par les partisans 100% autonomiste :
    - Nous sommes majoritaires chez les adhérents et chez les électeurs / Nous sommes légitimes, le Modem, c’est nous.
    - Nous sommes une alternative électorale pour les électeurs socialistes, démocrate ou conservateur.
    - Une présence aux municipales permet d‘imposer le Modem pour les échéances futures, notamment les élections régionales
    - Il sera possible après les municipales de reconstruire le modem Lyonnais à partir des adhérents colistiers aux municipales.
  • Principaux arguments avancés par les opposants :
    - Ils font croire à Bayrou qu’ils ont les moyens de monter une liste, ce qui n’est pas le cas (Rappel : il faut déposer 221 colistiers dont 110 femmes, et trouver un budget de 60 000 Euros).
    - Même à 10%, il n’y aura pas d’élus et donc aucune visibilité pendant 6 ans.

Ceux qui rejoignent Gérard Collomb

Il s’agit pour la plupart des proches d’Anne-Marie Comparini et d’Azouz Begag, et pas des moindres (Thomas Rudigoz, Eric Desbos…). Certains imaginent mal Thomas Rudigoz et d’autres ne pas avoir prit conseil auprès d’Anne-Marie Comparini avant d’annoncer leur soutien à Gérard Collomb. Azouz Begag a également annoncé qu'il soutenait Gérard Collomb au 1er tour.

  • Principaux arguments avancés par les partisans d’une fusion avec Gérard Collomb :
    - Nous représentons les deux tendances les plus fortes du Modem : Comparini et Begag
    - A 5 semaines du scrutin, il est maintenant trop tard pour lancer une liste autonome.
    - Il faut des élus pour reconstruire le Modem après les municipales. Sans élus, personne n’aura la légitimité et ce sera de nouveau une crise d’autorité.
  • Principaux arguments contre les partisans d’une fusion avec Gérard Collomb :
    - Ceux qui ont ralliés sont tous des UDF, il n’y a aucun Modem ; Ils ne représentent donc pas les adhérents et électeurs qui sont arrivés pendant la présidentielle.
    - Le Modem doit être autonome et indépendant pour devenir la 3eme force politique en France et proposer une vraie alternative politique concrète pour les électeurs.

Petit message personnel : Merci de ne pas tirer de conclusion sur ma position ou celle de Génération Démocrate...

Et puis restez zen dans vos commentaires !

Mouvement démocrate, élections et divisions : de la consubstantialité en politique.

Par Sylvain Moulin

Que de déchirements, que de coups bas, que de rancoeurs après ces quelques mois de primaires au sein du Modem. Il n'y a à mes yeux rien d'étonnant à cela. De façon classique ce processus interne a provoqué des divisions. Mais au-delà il a mis le doigt sur la faiblesse à court terme de notre positionnement. Si l'analyse de la recomposition du spectre politique en trois tendances (socialiste, démocrate et conservatrice) est pour moi pertinente , le positionnement induit s'avère très difficile à assumer en temps électoral.

Nos institutions fonctionnent sur un mode de scrutin induisant une bipolarisation pour ces municipales : alliance ou non avec un des deux potentiels vainqueurs. ( Il est dommage que nous n'ayons pas su ou pu mettre rapidement sur le devant de la scène un candidat ayant l'étoffe pour l'emporter ... si cela existe dans nos rangs, mais c'est un autre débat).
Le schéma de pensée des électeurs est aujourd'hui encore clairement droite contre gauche. Il n'y a qu'à échanger autour de nous pour constater à quel point cette opposition est structurante, consciemment ou inconsciemment. Au sein même de notre partie cette division est là.

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Les UDF et les MoDem sont-ils compatibles ?

Il est peut-être grand temps de se poser sérieusement la question. En effet, nous vivons actuellement une première élection interne très laborieuse qui a fait resurgir une opposition latente depuis le lancement du Mouvement Démocrate, l’opposition de deux camps qui se sont observés, qui se sont méfiés puis qui se défient à présent.

Qui sont ces deux camps ?

D’un côté il y a les UDF du « canal historique », engagés au centre depuis des années et qui étaient évidemment à tous les postes de l’appareil fondateur et donc aux instances dites « provisoires » du Mouvement Démocrate. François Bayrou leur a proposé un nouveau contrat, beaucoup plus amitieux que par le passé et qui a d’ailleurs tout de suite trouvé un écho spectaculaire auprès de dizaines de milliers de personnes qui attendaient de s’engager à leur tour, ou pour certains qui attendaient de s’engager ailleurs que dans leur parti d’origine. Les anciens UDF ont-ils pensé que ces renforts extraordinaires leurs seraient très semblables et les aideraient mieux encore à capitaliser, en vue de nouvelles échéances électorales, le score très prometteur de la présidentielle 2007 ? Peut-être. Les nouveaux MoDem ont-ils pensé que les gens qu’ils rejoignaient correspondaient parfaitement aux valeurs portées par François Bayrou pour cette campagne présidentielle et pour l’avenir de notre pays ? Probablement.

Sauf que…

Sauf que de l’autre côté, tous ces nouveaux adhérents ne se sont pas engagés subitement pour n’être que des suiveurs, que des observateurs discrets et des exécutants au service de la réussite politique de quelques uns. Ils ne se sont pas engagés sur un coup de tête, comme on s’inscrit à un club de fitness par bonne résolution. Ils n’ont pas fait le pas de s’engager en politique ou de changer de parti par hasard, ils ont attendus des années avant de trouver dans un parti la promesse forte d’une politique autrement, d’une politique proprement et d’une politique fortement au service des concitoyens. Or beaucoup d’UDF historiques sont quand même fortement emprunts des pratiques politiciennes du passé. Le jeu politicien y est prépondérant, ce jeu qui consiste à tout tenter pour exister et bien sûr gagner des places. Les négociations secrètes, l’influence du pouvoir et des réseaux, l’exploitation d’avantages exclusifs, quitte à être déloyaux, quitte à s’arranger avec les règles, valent aussi bien pour les combats politiques externes que, nous venons de le vérifier, lors d’une élection interne.

« C’est la politique ! » vous diront certains, sauf que ce n’est pas pour cette politique là que ce sont engagés la plupart des nouveaux adhérents. Si vous dénoncez ces méthodes vous serez d’ailleurs facilement qualifiés de « bisounours » qui ne connaissent rien à la politique.

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